Voyage au coeur du biotope de la radiata

Toujours de très belles photos Ingid ,qui laisse le vague à l'âme ...

Domage que les événements de ces mois passés ,mon pas permis de

retourner sur la grande ile ! à dans 10 jours, ce soir emballage de

l'ordinateur :verysad: à bientôt prochaine connexion de métropole !

laurie64 avec mes .......:minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue:

:minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue:

bon courage pour le déménagement!
à bientôt de tes nouvelles! :thumb:

super photos merci

laurie64 a écrit:

Toujours de très belles photos Ingid ,qui laisse le vague à l'âme ...

Domage que les événements de ces mois passés ,mon pas permis de

retourner sur la grande ile ! à dans 10 jours, ce soir emballage de

l'ordinateur :verysad: à bientôt prochaine connexion de métropole !

laurie64 avec mes .......:minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue:

:minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue: :minitortue:

bon courage à vous toutes :minitortue:

merci ingrid pour ce superbe reportage photos

Une pensée particulière pour toi Laurie en espérant que tout se passera au mieux pour le moral et pour ton cheptel. Donne-nous vite des news !
Quant à l'Ile rouge tu as encore de longues années devant toi pour y reposer les pieds.
Suite du voyage...


Nous voilà au village d'Itampolo, village Vezos, peuple de pêcheurs occupant la côte du Sud et du Sud ouest.
Nous nous éloignons du Sud vers le Sud Ouest et vers la ville de Tuléar.

Ca fait un bail, mais voilà la suite...

"Aujourd'hui nous quittons Itampolo pour le domaine d'Ambola (135 km de piste) le long de la côte ouest et le lac de Tsimanapetsotsa.
L'eau est toujours un problème journalier, il faut même en faire des réserves à l'abri d'un enclos.
Le gouvernement avec les aides internationales a décidé de financer la construction d'écoles toutes neuves, je n'en ai jamais vu autant, mais il semble qu'à force de dire que le sud était la région la plus pauvre de Madagascar, il n'y en a que là, bon maintenant l'éducation est le seul moyen de sortir de la misère."

"Nous arrivons au grand lac salé de Tsimanampestotsa, belle étendue d'une eau turquoise blanchie par le sel. Le lac est bordé de salicorne rouge ou verte (la verte est consommée par les paysans comme salade, c'est salé et pas mauvais), le lac est colonisé par les flamants roses.
De là nous sommes montés à l'assaut des collines environnantes dans une forêt encore plus sèche que sèche, et pourtant il y a encore des arbustes en fleurs..."

ouf cela fait toujours autant rever
merci

des décors absolument dépaysant, c'est vraiment génial!

par contre, je n'ai pas encore réussi à prononcer le nom du lac sans bafouiller!

Magnifique, je vais refaire mes valises à force de contempler ces

paysages !Merci Ingrid, de ce super reportage photographique,à bientôt laurie64

Wahouuu.
Ça ressource de voir ces photos... vu le temps qu'on a ici.

Merci Ingrid

Je vous prépare les autres dès que possible.
Moi aussi j'ai envie de saupoudrer du soleil dans le coin et de faire mes valises vers ailleurs !

Je bave.........
Dehors fais tout noir... bouhouhou

Allez, un peu de couleurs dans ce monde de grisaille !

"Le voyage continue.
Nous sommes toujours près du lac de Tsimanampetsotsa en commençant par un superbe baobab de 1 000 ans d'après notre guide. Un de ces baobabs bouteilles que l'on rencontre dans l'ouest, Adansonia rubrostipa, une des 6 espèces de baobabs présentes sur l'île, deux autres sont présents dans le monde, A. digitata en Afrique et gibbosa en Australie.

Un Pachypodium geayi superbe chargé de fruits.

Un petit lézard et encore un énorme Baobab encore plus vieux que le précédent, 3 000 ans parait-il !

Un ficus bagnan, pas spécifique de la région, qui abrite sous ses frondes un pigeon vert et une grotte remplie de mystères.

Au fond de la grotte un poisson incroyable, endémique de ce lac souterrain, totalement adapté à ce lieu sombre (il n'a pas d'yeux) : Typhleotris madagascariensis.

Enfin une troupe de pintades sauvages qui filent se mettre à l'abri."

merveilleuses photos!

Le Pachypodium est énorme.
Il faut vraiment que la flore soit volontaire pour pousser dans un sol aussi hostile. Ça ne la rend que plus belle.

wahoo quel paysage
Merci pour ces belles photos

la plage c'est merveilleux
mais par contre si il y a des rad dans le coin je me demande ce qu'elles mangent

J'adore le jardin. Je rêve d'en avoir un comme ça...

Moi aussi j'aimerais bien mais à part mais mes mini-baobabs et autres plantes en serre ça va être dur !
Et ce rouge...

Nous quittons le domaine d'Ambola pour la ville deTuléar soit 275 km de piste ensablée et 25 sur la N 7 goudronnée qui descend d'Antananarivo vers Tuléar, que nous allons rejoindre juste avant la capitale du Sud Ouest.
Il faut partir très tôt aujourd'hui car la route est longue et comme nous longeons encore un certain temps la côte nous sommes d'emblée dans le sable, et plus il fait chaud plus le sable est difficile à négocier. En nous éloignant de la côte le sable change de couleur et la latérite prend le dessus avec cette couleur caractéristique rouge typique de Madagascar. Ici comme ailleurs nous rencontrons des arbuste en fleurs, traversons des villages dénués de tout, des termitières, et de nouveaux Adansonia Za (baobabs) de plus en plus grands.

Le voyage continue.
Toujours D'ambola vers Tuléar.

Les baobabs de la région sont également des aides précieuses à la conservation de l'eau, les villageais creusent à mi hauteur un trou dans l'arbre qu'il remplissent d'eau à la saison des pluies, cette eau stockée comme dans un chateau d'eau n'est alors utilisée qu'en cas de sécheresse prolongée et en dernière extrémité, celui que nous visitons est vide.





La déforestation est également présente tout autour des villages.





Encore la déforestation par le biais du charbon de bois.

Une maison typique de l'ouest avec sa varangue pour abriter les habitants du soleil.



Le retour de l'eau dans les lits des rivières, malgré sa rareté l'eau semble un peu plus présente ici.