trafic asterochelys yniphora (tortue la plus rare du monde)

sur planete le reportage est super vieux,enfin il a déja qques années et il passe assez souvent,je l'ai vu plusieurs fois

A ma connaissance, Georges est toujours en vie. J'ai eu la chance de pouvoir le voir à la station Darwin il y a 5 ou 6 ans. Il s'agit d'une vieille tortue très calme comme le sont les très grosses Chelonoîdis nigra. Il appartient à la sous espèce Abingdoni, assez proche morphologiquement des tortues de l'ile d' , hispanola, à la carapace dite en forme de "selle à cheval", c'est à dire très relevée vers l'avant et assez peu enveloppante. Des recherches approfondies ont été effectuées sur l'ïle de Pinta, d'où est originaire Georges, afin de tenter de retrouver un autre spécimen, en vain. Des tentatives d'accouplement avec des femelles d'Hispanola n'ont rien donné, Georges étant d'un naturel apparemment peu porté sur la chose...!Demeure l'espoir qu'entretiennent les responsables de la station Darwin de trouver un spécimen... dans un des nombreux petits zoos de l'Equateur, pour, peut- être tenter une insémination artificielle si nécessaire.

tu as bien de la chance de l'avoir vu

dans un La Tortue de 2006, il est comptabilisé comme vivant encore, étant donné que B. Devaux a été sur place il y a peu, il me semble plus probable qu'il vive encore

J'ai parcouru la discussion concernant les Yniphora et j'avoue ne pas comprendre la cabale qui s'abat sur M et B. D'après les éléments dont nous disposons, M aurait formé une demande d'exportation tout à fait officielle et aurait obtenu les autorisations nécessaires.Il semble avéré qu'en fait les documents produits aux Comores seraient falsifiés ou bien que les tortues proposées na correspondraient pas a ces documents. En quoi M et B seraient-ils responsables de cette situation? Ils n'ont tout de même pas tenté de passer des tortues illégales cachées au fond d'une malle...!

Quand au fait de tenter de se procurer une espèce au bord de l'exstinction afin de créer un autre centre ou elles seraient élevées, tout comme c'est le cas à Madagascar ou aux EU, je trouve cela plus que louable car deux centres sont totalement insuffisants en cas d'épidémie brutale. Quant à Madagascar, ne parlons même pas des risques politiques ou de guérilla propres à des pays en voie de développement qui pourraient transformer ces animaux en potages ou brochettes.
L'élevage est une nécessité absolue pour sauver les espèces, que ce soit in situ ou à l'extérieur.Que fait d'ailleurs la Soptom elle même, si ce n'est de l'élevage.
Donc, calmons le jeu et attendons.Si cette affaire fait pschitt, comme c'est probable, c'est que rien ne pouvait être reproché à M et B. Si tel n'était pas le cas, croyez moi, la justice ne les lacherait pas.

Je vous suis dans votre raisonnement Mr ou Mme Elzear ;-))

Salut

je pense que la Réunion serait un lieu plus adapté pour acceuillir un population d'yni lol

nan sans plaisanter c'est clair qu'il faudrait crée d'autres centres d'elevage

allé un volontaire qui bosse en zoo qui voudrait crée un programme EEP

Personnellement, je pense qu'Il est clair que si l'on veut sauvegarder une espèce ce n'est pas en l'expatriant sous d'autres latitudes qu'on va lui rendre service...
Pourquoi en plus lui demander une adaptation à d'autres cllimats ou lui créer des climats "artificiels" via des lampes, des chauffages, des néons, des substrats..........à tout va.....????????????????????
Pourquoi ne pas créer des centres de "reproduction" et réadaptation sur place ? pourquoi pas faire plus de campagnes d'information sur place aussi ??????
Je crois que la sauvegarde des espèces commence par là !!!!

...jusqu'ici, les divers programmes de "sauvetage " de Yniphora sous d'autres latitudes (notamment dans les zoos américains..) ont lamentablement échoué malgré les investissements et les techniques utilisées.....

à la Réunion les gens reproduisent les radiata pire que les hermani chez vous
comme des gutts (Elaphe) presque lol

donc des yni sa doit etre plus que largement possible

Jerome974 a écrit:

à la Réunion les gens reproduisent les radiata pire que les hermani chez vous
comme des gutts (Elaphe) presque lol

donc des yni sa doit etre plus que largement possible

à la seule différence qu'une yniphora n'a rien à faire (selon moi) chez un particulier que ce soit à Mada, à la Run ou partout ailleur. Malheureusement nous savons tous qu'il en est autrement, que des collectionneurs sans aucun souci de conservation ne se prive pas de sauter sur l'occasion d'en acheter au marché noir ( et donc d'origine illicite) rien que pour satisfaire leur égocentrisme surdimensionné et ca c'est plus que déplorable. J'ose espérer que ces personnes ouvriront les yeux un jour et se rendront compte (s'il n'est pas trop tard pour eux suite à une visite de l'ONCFS par exemple ) de l'énorme bétise qu'ils ont faite. Mais je me rend compte que je rève debout...

je te parle de zoo lol

pas de chez moi mdr

et pour en revenir au titre ya des tortues plus rare que les yniphora

des especes ou sous especes de dipsochelys il me semble

Ce n'est pas parce que des tentatives de reproduction ont échoué qu'il ne faut pas continuer.L'expérience a prouvé que la persévérance est payante car il suffit souvent d'un élément manquant auquel on ne pensait pas pour obtenir une réussite. En ce qui concerne le fait de reproduire une exotique ailleurs que dans son pays, je ne vois pas ou est le problème. La radiata, autre tortue malgache n'est-elle pas reproduite avec succès de partout dans le monde, y compris en France? Grâce à une telle expatriation, on peut considérer que l'espèce est sauvée et pourrait être réintroduite sans peine si elle venait à disparaître de son biotope. Ne vouloir conserver des yniphora qu'à Madagascar me paraît être de la plus grande inconséquence lorsqu'on connait les conditions de vie dans ce pays (j'y suis allé à deux reprises) et plus encore lorsqu'on sait que ces tortues se trouvent toutes sur un petit territoire de quelques kilomètres carrés à peine.

je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il ne faut pas rester sur un échec, et qu'il faut continuer à se faire reproduire les yniphora, mais au vu de leurs faible nombre, je pense qu'il est plus judicieux que ces reproductions aient lieu dans le cadre de programme de sauvegarde et non chez des collectionneurs particuliers qui ne verront en leurs bébé que des lingo à quatres pattes. Ne l'oublions pas c'est bien les vols pour alimenter le marché noir qui à également failli faire disparaitre l'espèce...
à propos des radiatas, je ne pense pas qu'elles soient reproduite avec grand succès en France métropolitaine, mais là est un autre débat qui ne rentre plus dans le cadre du titre de ce sujet.
Je maintien donc ma position sur le fait que pour moi, les yniphora pour le peu qu'il en reste devraient TOUTES êtres incluse dans des programmes de sauvegardes dans des contrées ayant des paramètres bioclimatiques proches de ceux rencontrés au niveau de leur aire de répartition. Cette espèce n'a à mes yeux pas lieu de se retrouver en Europe pour le moment ou chez un particulier voulant épater la gallerie ...

Pour jérome974, tu as en effet bien raison

grammostolacala a écrit:

je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il ne faut pas rester sur un échec, et qu'il faut continuer à se faire reproduire les yniphora, mais au vu de leurs faible nombre, je pense qu'il est plus judicieux que ces reproductions aient lieu dans le cadre de programme de sauvegarde et non chez des collectionneurs particuliers qui ne verront en leurs bébé que des lingo à quatres pattes. Ne l'oublions pas c'est bien les vols pour alimenter le marché noir qui à également failli faire disparaitre l'espèce...
à propos des radiatas, je ne pense pas qu'elles soient reproduite avec grand succès en France métropolitaine, mais là est un autre débat qui ne rentre plus dans le cadre du titre de ce sujet.
Je maintien donc ma position sur le fait que pour moi, les yniphora pour le peu qu'il en reste devraient TOUTES êtres incluse dans des programmes de sauvegardes dans des contrées ayant des paramètres bioclimatiques proches de ceux rencontrés au niveau de leur aire de répartition. Cette espèce n'a à mes yeux pas lieu de se retrouver en Europe pour le moment ou chez un particulier voulant épater la gallerie ...

Pour jérome974, tu as en effet bien raison

MERCI..... :rhoo:

tu te sens moins seule mariel?
,en tout cas, j'aimerais; ne serait ce, qu'un seul potentiel acquéreur de cette espèce lise ces quelques lignes et se refuse à franchir le pas...ca serait déjà une victoire contre le marché parallèle des espèces rares qui fragilise beaucoup la survie de ces espèces... J'ose réver à cela...
ne nous voilons pas la face, si cette histoire a, je l'espère, fait réfléchir plus d'une personne, elle a également fait connaitre cette espèce à de nouveaux potentiels acquéreurs...

bernoss a écrit:

.... il me semble que certains s'en préoccupent depuis des années ... je pense à la SOPTOM ... qui a monté des programmes in situ .... pour les sulcata notamment et pour les radiatas aussi ... il suffit de lire les nombreux reportages déjà parus dans le journal La Tortue ...

Tout à fait

tu as raison Bernoss, mais pour l'yniphora, les centres se compte sur les doigts d'une main, plus précisément sur les "doigts' d'une patte d'oiseau... et même moins...

grammostolacala a écrit:

tu as raison Bernoss, mais pour l'yniphora, les centres se compte sur les doigts d'une main, plus précisément sur les "doigts' d'une patte d'oiseau... et même moins...

... c'était juste un petit rappel ... car je constate souvent qu'on occulte les gens qui ont mené des actions concrètes pour les tortues (dans leur pays d'origine) ... et cela depuis plus de 20 ans ... et sans faire de tapage .... je pense à Jacques Fretey pour ses actions en Guyane pour les tortues luth ... aux programmes sulcata en Afrique ... aux programmes radiata à Madagascar ... etc .... en philo, on appelle ça le "sens de l'histoire" ... rendons à César ... etc .... mais évidemment qu'il reste beaucoup de boulot à faire, y compris devant nos propres portes

Je suis totalement d'accord avec Grammo.....
Et si quelqu'un maîtrise leur repro un jour, et bien que ça serve à l'espèce et pas à son portefeuille.....

very utopiste......

Cerise a écrit:

Je suis totalement d'accord avec Grammo.....
Et si quelqu'un maîtrise leur repro un jour, et bien que ça serve à l'espèce et pas à son portefeuille.....

very utopiste......

Complètement dans mon sens....Voila pourquoi j'ai dit merci :rhoo:

Salut

donc pour réagir à vos post

Gramo grace à toi je n'irai pas en Thailand pour recupérer des yni bb à 2500 €
ce qui n'est pas si cher que sa à raison lol

pour la soptom ils on à ma connaissance pas de programme de sauvegarde des yni c'est durell's wildlife fundation qui s'en occupe je croit
eux ont de vrai programes de sauvegarde repro des individus saisi pendant 2 ans ils les relaches ensuite ... (les adultes mais aussi les Juv quand ils sont de taille suffisante) eux font un tres bon travail à mes yeux ils s'occupent aussi des tortues aquatiques de mada à savoir que des locaux leurs signale les nid et sur chaque ponte ils récuperent 2 petits les font grossir puis les relachent une fois qu'ils atteignent une taille suffisante !

pour la soptom d'apres mes info (pas tres nombreuses je l'avoue) à Ifaty

- ils recherchent encore un site de lacher potentiel pour les rad et n'ont pas encore trouver ...

- ils ont dans leurs centre 900 rad et ils s'interdisent la repro ... c'est du gachis à mes yeux (repro dans le but de reintroduction je parle)

Sinon dans le meme genre je pense qu'il y as un organisme qui pour sauvegarder une population de Dipsochelys les hybrides ... c'est chouette comme methode pour gardé des lignées MDR

apres ce n'est que mon avis donc pour la personne qui est pour la soptom moi je dirait soptom durell :thumb:

apres ils ont surement des contraintes que j'ignore mais je prefere largement les methodes de la fondation durell et perso la soptom à part les bouquins publier dans un but commercial je n'ai jamais vu de leurs publication scientifiques ...

apres ce que je dit sa vaut ce que sa vaut je suis pas a fond dans le milieu non plus très loin de la au contraire